Question philosophique et existentielle, je suis un amateur des voies sur berges et autres chemin de traverse. Travail de géopoétique à la manière de Kenneth White, j’ai souhaité m’arrêter un moment et prendre un instant de repos pour déposer dans ces quelques pages immatérielles des considérations plus prosaïques.
Amateur de poésie, de ville et de tradition modernes, je souhaite sous couvert du plus parfait anonymat partager avec des lecteurs hasardeux quelques perles glanées ça et là. des considérations parfois très pragrmatiques dans le domaine de la cuisine, et je l’espère aussi des songes et des évènements curieux que je chercherais à partager avec vous ici.
Pourquoi une voie sur berge ?
La voie sur berge c’est la voie de garage, celle que l’on choisit pour s’enfuir et s’évader. C’est celle qui dans la ville semble déjà en sortir. Une espérance qui bat au pouls de la vie citadine. Fermée des weekends, lui de rassemblement des jeunes, espace de fête et de détresse, c’est un espace limitrophe, une zone frontière et c’est cette particularité du lieu qui m’inspire et me conquiert.
Toujours donc, j’irai marchant sur des voies sur berges.
Si vous souhaitez contacter le grand échalas qui se cache dans ces pages pour faire part de vos étonnements, rages de dents et autres n’hésitez pas à utiliser le formulaire de la page contact !
Bonne balade