Préambule : j’adore le vélo, j’adore en faire sur nos voies sur berges qui sont parfois fermées le dimanche et partir pour de longue promenade mi-urbaine, mi-rurale. Je suis plutôt délicat, et respectueux comme personne mais s’il y a une chose que je déteste, c’est le vol de vélo. Dans cet article, je parle de mes désastres amoureux en terme de vélo et de considération urbaine plus simples.
“J’avais un vélo, avant”.
C’est souvent comme ça que les conversations se croisent entre personnes un peu âgées qui habitent une ville et s’y impliquent et y travaillent. C’est souvent le cas et ça ne devrait pas l’être. Selon le site spécialisé dans l’antivol vélo, antivolvelo.net, on apprend que 400.000 à 500.000 vélos sont volés chaque année en France. que plusieurs municipalités se plaignent de ces vols et que ces mêmes atteintes deviennent un frein au développement des villes.
1 personne sur 4 ne rachète pas de vélo après un vol
C’est assez tragique et c’est le constat d’un échec cuisant dans la politique d’une part d’un développement écologique de la ville et d’autre part dans la politique d’intermodalité dans les transports.
J’ai lu une information à ce sujet sur un site Canadien et les statistiques étaient beaucoup plus basses (8% des personnes victimes de vol de vélo ne rachetaient pas de vélo). En France, la menace est si forte que les particuliers préfèrent prendre d’autres moyens de transports quitte à reprendre leur voiture que de se racheter un vélo. Le vol est devenu monnaie courante, il n’effraie ni les politiques, ni les habitants, ni même les voleurs puisque de nombreuses vidéos montrent l’impunité des voleur de vélo.
Les solutions existent : un bon antivol vélo
Apparemment une grande majorité des utilisateurs possèdent des antivols de mauvaise qualité. Je ne sais pas si vous faîtes l’observation, mais quand on y fait attention c’est assez ahurissant. La prochaine fois que vous vous promènerez, regardez les antivols des vélos. La majeure partie est des antivols à câble ou des antivols de type chaine bon marché qu’une pince coupante permet de couper en 10-15 secondes. Il est surprenant qu’il n’y ait pas de classification fiable pour déterminer le degré de protection offert par un antivol.
Le FUB, Fédération des Cyclistes Urbains, propose des classements, ainsi que l’UFC que choisir, mais il manque à ces études des expériences réelles, ce que j’ai apprécié sur le site antivolvelo.net d’ailleurs. Quand on voit les antivols on peut se demander si :
- la police fait son travail de prévention
- les grandes enseignes profite de ce système de remplacement forcé du vélo
- les grandes enseignes en profite deux fois puisque ce sont elles en plus qui vendent les antivols de mauvaise qualité
Le meilleur antivol vélo pour moi ?
Le Kryptonite Serie 4 STD est vraiment une valeur sûre. Pas très cher, il est imposant, robuste, et capable d’arrêter le plus déterminé des voleurs. Dans les tests des différents organismes que nous avons cité il apparait souvent bien placé. Bref, le top. En plus aux US, une assurance permet de remplacer le vélo si une effraction a été commise sur l’antivol. Que du bon donc.
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